Et alors c’est pour quand le prochain ?

Quand tu te maries, 6 mois plus tard si tu es pas enceinte, des gens très délicats te demandent « Alooooors c’est pour quand le bébé ? T’es toujours pas enceinte ? »

Bah non comme tu le constates je ne suis pas enceinte mais j’ai peut-être pas envie d’avoir un enfant tout de suite ou peut-être que j’ai du mal à en avoir un et puis d’abord est-ce que c’est ton problème ? Quand je serai enceinte tu seras informée, pas la première informée bien sûr, mais tu seras mise au courant, t’inquiète pas.

Après donc, un jour tu es enceinte, tu accouches et lorsque mini-toi est à peine sortie, la population te demande déjà quand tu vas remettre ça. Tu oses un « Mais en fait quand vous parlez de « ça », vous parlez de baiser ou de faire un enfant  ? ». L’autre est choquée et balbutie tout de même un « mais je parle d’un enfant enfin… ».

Donc si tu es en couple et en âge de procréer, sache que le monde entier te pose des questions sur tes envies et ta capacité à faire des enfants. C’est délicat, très délicat.

Moi j’ai deux enfants qui sont communément, depuis 1 an environ, appelés « grands » parce qu’ils ont 7 et 5 ans. Et il ne se passe pas une semaine sans qu’une voisine/une copine/une maman de l’école/une inconnue ne me demande « Alors c’est pour quand le petit 3ème ? ». J’ai toujours l’air excédé face à cette question que je trouve intrusive et qui surtout, me donne le sentiment que faire des enfants est une obligation.

Quand tu en as pas, on te demande pourquoi. Quand tu en as un, on te dit qu’un enfant unique c’est pas bien. Quand tu en as 2, on te suggère d’en faire un 3ème « un petit dernier, pour la route » etc…

Moi j’aimerais répondre qu’on ne parle pas d’un verre de vin mais que dès que l’envie de faire l’amour en vue de faire un bébé me prend, je filme tout ça et on en parle.

Mais comme je suis polie (et lâche), je souris et je dis « oh bah on verra » !

 

 

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Les 10 raisons pour lesquelles les parents aiment le lundi.

Avant, quand tu n’avais pas d’enfant, lundi c’était synonyme de « flûte, zut, déjà ? ». Tu rêvais de rester chez toi et de prolonger le week-end. Mais ça c’était avant.

Maintenant que tu es parent, le lundi c’est synonyme de « Yiha, chouette, pas trop tôt ! »

Pourquoi ? Bah parce que :

1/ Tu vas enfin pouvoir boire ton café et lire ton journal sans être interrompu par une couche à changer ou un caca à essuyer.

2/ Tu vas enfin pouvoir parler au téléphone avec ton client/ton boss/ta mère/ta copine sans avoir des serialkids qui tournent autour de toi en manque de câlins/bonbons/gâteaux tels des vampires en manque de sang.

3/ Tu pourras enfin t’accorder un temps pour surfer sur tes sites favoris sans que des mains toutes petites viennent taper sur ton clavier et t’envoyer directement sur le site de Dora.

4/ Tu vas enfin pouvoir finaliser ta commande de livre photos personnalisé en prenant ton temps.

5/ Tu vas enfin pouvoir, si tu oses, t’accorder une micro sieste ! Même au bureau c’est possible : suffit de dire à ton boss que tu fais du yoga, il n’y verra que du feu.

6/ Tu pourras enfin manger à midi ce que tu veux sans te taper les restes mal mâchés de tes enfants.

7/ Tu pourras enfin ne pas répondre tout le temps à des questions commençant par « Pourquoi » et terminant par « Hein maman,/papa ? »

8/ Si tu es chez toi, tu pourras faire le tri dans les chambres de tes enfants c’est-à-dire, par exemple, jeter les 43 dessins de princesses et de pirates effectués ce week-end, l’air de rien, sans qu’ils te hurlent dessus. Le soir, quand ils les chercheront, tu n’auras qu’à dire avec un air innocent « bah je sais pas moi ..jamais vu de dessins ici… »

9/ Tu pourras brancher ton Ipod et écouter TA musique sans te taper des chansons de Trotro  en boucle.

10/ Tu vas pouvoir te retrouver avec toi-même. Et parfois, il faut l’avouer, ça fait du bien.

Profite…c’est bientôt vendredi !

 

 

 

 

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Le jour où on s’est mis à parler anglais (pour que les enfants comprennent pas)

Voilà c’est arrivé. Nous avons franchi une étape dans nos vies de parents : nous nous sommes mis à parler en anglais lorsque les serialkids sont avec nous et que nous ne voulons pas qu’ils comprennent ce que nous disons.

Petite, quand mes parents faisaient ça je trouvais ça idiot. Je me disais qu’ils pouvaient bien attendre 3 minutes et aller discuter dans une autre pièce, qu’ils étaient tellement ridicules avec leurs phrases en franglais, qu’ils avaient l’air de de se sentir intelligents alors qu’en fait non, qu’en plus je comprenais quasiment tout puisque j’étais dans une classe bilingue. Bref, je trouvais ça absurde.

Les années ont passé, je suis maintenant dans le rôle que campait ma propre mère il y a 25 ans et je m’y mets à mon tour.

Je capte maintenant l’utilité de l’anglais en présence d’enfants. Par exemple lorsque le grand demande s’il peut regarder la télé mardi à 19h. On se regarde mon mari et moi l’air un peu idiot et on enclenche automatiquement le bouton « english ».

Moi « What do you think ? He kan watch TV ? Nan parce que me I do not, putain comment on dit déjà, I do not, bon bref tu vois quoi ? »

Lui « No, je ne vois pas what you mean. Moi je think que I don’t care parce que c’est tuesday et que tomorrow y’a pas école« .

A ce moment là l’enfant bondit « Ah maman tu vois, papa il dit que y’a pas école demain et que donc je peux regarder la télé. »

L’enfant est donc bilingue ? Que nenni ! L’enfant est malin.

Autre situation. On est en voiture et on se dispute. En anglais please !

Moi « Ecoute, I do not want to eat at your friend’s house. Je les aime pas Paola et Pierre. Ok? »

Lui  » Tu m’énerves. I don’t know why you say that. J’irai without you. Pierre is my best friend. And moi I don’t love your copine Juliette. »

L’enfant qui observe cette scène de ménage bilingue demande « ah bon pourquoi t’aimes pas Juliette papa ? »

Conseil pour la next time : parler chinois.

 

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Quand la Une de Libération (avec le mot con) remue les enfants.

Hier, alors que je cherchai mon serialfiston à l’école, nous sommes passés devant un kiosque à journaux. Jusque là rien de grave.

A l’école la leçon d’hier portait sur ce qu’est une phrase : « une suite de mot qui a un sens ». Alors que nous discutions de savoir ce qui a un sens ou pas, mon serialfiston eut le regard attiré par le titre de Libération « Casse toi riche con ! ».

Et là les questions fusèrent « Pourquoi il y a écrit un gros mot sur ce journal ? Est-ce grave d’être riche ? Si on est riche est ce qu’on est forcément con ? Est-ce que c’est une phrase ? Est ce que ça un a un sens ? »

Bombardée de questions, et alors que je me force à répéter à mes enfants que les gros mots c’est moche et qu’il ne faut pas en dire, je fus bien obligée de répondre que cette phrase (oui car c’est une phrase n’est-ce pas puisque ça a un sens ?) faisait référence à une une autre phrase, que non lorsqu’on est riche on n’est pas forcément con, que c’est mal de dire des gros mots et de les écrire.

Ensuite mon fiston me demanda si comme moi aussi j’étais journaliste, j’avais le droit d’écrire des gros mots. « Non , enfin parfois, mais c’est rare et c’est quand vraiment je suis en colère« .

Alors que je me tue à inculquer à mes serialkid le respect et l’importance du savoir, je dois avouer que cette Une me plongea dans une situation complexe avec mon fiston (rien de politique là dedans, je te rassure).

Maintenant qu’il sait lire, faut il lui bander les yeux ?

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Pourquoi « l’heure des mamans » ne s’appelle pas « l’heure des papas » ?

Avec la rentrée et la reprise de l’école ou de la crèche, il faut bien faire un constat : plus de mamans que de papas.

Je n’ai jamais été une féministe pure et dure, je suis pour le partage des tâches, pour que les femmes aient le même salaire que les hommes mais je reconnais aussi (ais-je tort , dis moi ?) qu’une maman est souvent plus au fait de ce qui se passe dans la vie de son enfant qu’un papa. Attention je ne dis pas qu’il n’y a pas des papas normaux (oui parce que c’est de normalité qu’il s’agit, pas de miracle), qui s’inquiètent dès le mois de juin d’inscrire junior à la danse ou au judo,  qui se lèvent 12 fois la nuit quand bébé pleure, qui aménagent leur horaires de boulot pour rentrer plus tôt le soir, qui font les courses et le ménage de la main droite en prenant rendez-vous chez le pédiatre de la gauche tout en étant au bureau. Oui il y en a mais soyons honnêtes, c’est pas la majorité.

Tu vas me dire qu’il ya des femmes qui ne travaillent pas et que comme c’est leur choix, il est normal qu’elles gèrent la vie des gosses de A à Z. Je te dirai que le choix de ne pas travailler se fait à deux dans un couple et qu’une femme qui ne travaille pas n’a pas non plus signé pour la démission de son mari de son rôle de père.

Si déjà notre chère langue française y mettait du sien et mettait au masculin certaines expressions telles que « l’heure des mamans » ou « instinct maternel », ça irait mieux.

Qu’en penses tu ?

ps : ouais je suis d’humeur revendicatrice, ouais !

 

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On sait (enfin) pourquoi les bébés pleurent !

Comme tous les bébés, les miens ont beaucoup pleuré. Je me suis dit qu’ils étaient chiants, fatigants, j’ai baissé les bras, j’ai pleuré aussi, j’ai essayé de reconnaitre leurs 5 différents pleurs sans jamais y arriver. Un jour ça s’est arrêté et cela me semble aujourd’hui très loin.

J’ai lu un article sur le Figaro (ouais, je ne suis pas qu’une mère va) qui vient enfin nous expliquer pourquoi ces bestioles de 50 cm pleurent.

Et comme je suis sympa je te fais un résumé.

Les bébés pleurent pour créer un lien avec leur maman (pas de question de papa ici, ché pas pourquoi). Comme vers 6 semaines ils ne savent rien faire d’autre pour se manifester à leur mômam et qu’ils ont envie qu’on s’occupe d’eux, de ne pas être seuls, et bah ils pleurent ! Moi quand je suis énervée je fais les 100 pas, je rumine, je tape et je pleure aussi ! Donc comme eux ne savent pas faire les 100 pas, ils ne font que ceux qu’ils savent faire c’est à dire chouiner.

Dans les années 90, un Docteur (Dr Ferber) a pensé qu’il fallait, après 4 mois, laisser pleurer le nourrisson pour qu’il se « calme seul ». Mais aujourd’hui tout cela est remis en cause  par d’autres «Le pleur est un signal, une sorte de sirène biologique, dont la principale fonction est d’attirer l’attention et de créer des liens d’attachement» réplique un autre pédiatre.

Une expérience a montré que si on laisse le bébé pleurer sans intervenir, au bout de quelques jours il finit par arrêter ses cris mais le stress est toujours là lui…

Il semblerait donc que laisser pleurer bébé ne soit pas la solution. Il faut le rassurer, lui montrer que sa maman est là et qu’il n’est pas seul.

Dur, dur d’être bébé. Et encore plus d’être maman.

 

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Ceux qui me jugent comme mère (je les hais)

Il y a quelques jours j’ai eu une petite remarque d’une dame que je ne connaissais pas.

J’étais à la boulangerie avec mes deux serialkids, j’achetai une baguette (jusque là, tu en conviens rien de grave). Il était 19h15 et lorsque mon fiston me demanda un bout de pain, je lui donnai.

Cette dame inconnue me dit « oh juste avant le diner ! Ce n’est pas bien madame !« .

Là je me suis retournée car je pensais qu’elle adressait à quelqu’un d’autre. Mais il n’y avait personne derrière moi. C’était bien à moi que cette sombre inconnue s’adressait.

J’ai hésité entre lui répondre, lui mettre un claque, la traiter de vieille frustrée de la baguette mais j’ai simplement dit très fort à la boulangère que les gens étaient fous et je pense que la frustrée de la baguette a bien compris que c’était d’elle dont je parlais.

Na méo. J’ai pas mis mes gosses au congélo non plus. De quoi j’me mêle ?

Ceux qui jugent ta façon de porter ton petit bébé, d’allaiter ou non, de laisser ton môme regarder la télé, de transmettre des bonnes valeurs, de les coucher à 20h ou à 22h, de leurs donner un chewing gum à 18h34, de leurs mettre des couches jetables ou pas, de les faire bosser 10 mn ou 1h30 en CE1, de gouter du chocolat à 13 mois etc…Ceux qui te jugent dans ton rôle (difficile) de parent alors que tu ne les a pas sonnés ou que eux mêmes ne sont pas des exemples. Ceux là, je les hais.

Et toi ?

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Si j’avais plusieurs bras (et mains)

Parfois je pense tout bas ou je hurle très fort « Mais enfin quoi P*****, j’ai que 2 bras (bordel) ! »

La nuit dernière j’ai rêvé que j’étais la femme aux mille bras. Et si j’avais mille bras, je…

– pousserais la poussette en téléphonant à ma meilleure copine tout en sirotant un thé glacé et en préparant le diner de junior.

–  j’allumerais la télévision d’une main, je lirais avec une autre, je chatouillerais les serialkids d’une énième, je caresserais mon chien Ulk avec une de mes paumes, je taperais du poing sur la table en cas de mécontentement avec ma mère tandis que je me ferais faire les ongles de la main N°334 par la main N°336.

– je couvrirais le cahier de serialfiston en maquillant la poupée de serialprincesse alors qu’au même moment je ferais un compote de pommes et que j’éplucherais des carottes bio.

– je promènerais mon chien en donnant le biberon à mon bébé sans oublier de me passer toutes les mains dans les cheveux et de poser trois coudes sur la table.

– je changerais une couche en faisant couler l’eau du bain tout en en allumant la machine à laver le linger et je me ferais une tartine au Nutella.

– je ferais des caresses à mes enfants en écrivant un billet sur mon blog tout en mettant un ou deux sucres dans mon café et en fermant mes deux sandales en même temps (je n’ai que deux pieds hein)

– je sortirais ma Carte Bleue en remettant l’écharpe de serialfiston, en faisant une tresse à serialprincesse et en me remettant du baume à lèvres.

– je secouerais le biberon pour diluer le lait en poudre tout en préparant un plat de pâte à mon mari et en me grattant dans l’arrière du dos (tu sais juste là où tu ne peux jamais te gratter seul, faute de bras assez long)

– je me laverais les cheveux en mangeant un paquet de bonbecs et en mettant du déodorant sous mes mille bras.

– je prendrais une main pour jouer à la Wii, une autre pour apprendre à écrire à mon fiston, une troisième pour faire des dessins, une quatrième pour fermer la fenêtre « parce qu’il fait froid », une cinquième pour mettre une musique sur mon Ibidule, une sixième pour envoyer un mail de boulot, une septième pour chercher mes lunettes dans mon sac, une huitième pour baisser le feu sous les pommes, une neuvième pour lire le dernier livre de la rentrée littéraire, une dixième pour faire des câlins.

Mais comme toutes les mamans je n’ai que deux mains, deux bras, un cerveau et un cœur. Et finalement c’est bien assez pour aimer et faire de notre mieux.

 

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Calendrier de l’avent (la rentrée)

Donc le mois d’août touche à sa fin et toi tu es dans un état de no man’s land. Tu ne sais pas si tu es content que tes petits reprennent l’école/la crèche/la nounou.

D’un côté ils vont te manquer : leur odeur à n’importe quel moment de la journée, leurs bisous volés à 15h30, leurs petits voix à 12h22, leur joie à 17h54.

D’un autre côté tu penses « YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES » ! Ce n’est pas grave. Ni mal. Ni sale. A toi les pauses café avec tes collègues pour parler du mariage de Jennifer Aniston, à toi les déjeuners sans interruption biberon ou demande bizarre, à toi ta pause shopping à midi sans poussette dans les pieds.

Dans 10 jours l’école/la crèche/la nounou reprend. Tic Tac : calendrier de l’avent.

Jour 1 : Pense à tous les bons moments que tu as partagé cet été avec tes serialkids. Prends en un au hasard et écris le.

Jour 2 : Entraine toi à recouvrir des livres avec du plastique. Dans 9 jours tu seras content d’avoir de l’expérience quand junior te demandera tout sourire de recouvrir 18 bouquins.

Jour 3 : Vérifie que junior est bien inscrit dans la bonne classe à l’école. En 1987 on raconte qu’un enfant de 4 ans a passé son année en CM2 sans que personne ne s’en rende compte. Si,si.

Jour 4 : Fais un planning de l’année avec les jours où c’est toi qui te lève la nuit en cas de cauchemar ou de loup planqué dans la placard. Les jours pairs c’est toi, les jours impairs c’est l’autre.

Jour 5 : Mets toutes les photos que tu as prises avec ton téléphone portable sur ton ordi. Sinon tu ne le feras JAMAIS.

Jour 6 : Prépare ta lotion anti poux.

Jour 7 : N’oublie pas de dépenser ton quart de salaire dans les fournitures scolaires.

Jour 8 : Donne des vitamines à ton bébé pour qu’il ne te revienne pas malade dès la première semaine.

Jour 9 : Han ! MAis as tu pensé aux activités périscolaires ? Vite vite vite !!!!

Jour 10 : Accorde toi des looooooongs calins avec tes serialkids car mine de rien, ils vont te manquer…

 

 

 

 

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Quand les enfants « cassent » leurs grands-parents.

En vacances, souvent on passe du temps en famille. On rigole, on échange, on cuisine, on se raconte des histoires des années 60. Mais gare aux serialkids qui peuvent tout ruiner d’un coup de bouche. Une petite phrase, un mot en trop (même dit avec candeur) peut vite tourner au drame et faire passer le clan Jackson pour des enfants de chœur.

Briefe tes kids dès le démoulage pour éviter ça :

– « Papi, parait que t’es un gros radin. C’est papa qui l’a dit ».

– « Mamie, maman elle dit que à ton âge c’est rikidule de mettre des décolletés et qu’on dirait même tu te prends pour Jane Fonda avec la beauté en moins. »

– « Maman elle dit que quand elle était petite tu t’es JAMAIS occupée d’elle. C’est vrai ça mamie ? »

– « Papa et maman ils ont dit que quand vous serez morts ils prendront la maison de campagne pour eux. Et aussi l’argenterie »

– « Papi quand t’étais jeune y’avait des dinosaures ? Parce que papa il dit toujours que tu est trèèèèèès vieux »

– « Mamie pourquoi toi tu deviens de plus en plus petite et moi de plus en plus grand ? »

– « Mamie pourquoi tu mets de la crème pour les rides ? Je crois que tu en as déjà assez comme ça ».

 

Vive l’échange intergénérationnel toussa.

 

 

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