Va-t-on survivre à la rentrée ?

Ami parent, je comprends ta peine, je sais ta charge mentale, je compatis.

Après 2 mois off d’école, de crèche, de nounou, nos chers enfants ont repris le chemin de l’école/crèche/nounou.

Septembre c’est un peu, soyons honnêtes, le pire mois de l’année niveau charge mentale (un peu comme décembre quand t’es le Père Noël).

En vrac, on se demande pourquoi on n’arrive jamais à couvrir les livres, quand est-ce qu’on a fait ce putain de rappel de vaccin à l’enfant, quel est le numéro de l’assurance scolaire, pourquoi les poux font leur rentrée en même temps que nous, quel jour l’enfant ira-t-il au tennis puisque il a trois tonnes de devoirs, pourquoi la maîtresse ne l’avait pas sur sa liste, si la cantine c’est une bonne idée ou pas, si on va réussir à travailler tout en organisant les vies de ministres de nos enfants, pourquoi la nounou a planté, où on a foutu les masques taille enfant, pourquoi la table des 9 c’est la plus naze, comment le grand va passer son bac alors que nous on pensait qu’il était encore un bébé, quel jour on va réussir à caler le cours de jiujitsu, pourquoi les 4 réunions de rentrée des 4 enfants sont le même jour à la même heure, est-ce que on va devenir parent délégué, est-ce que finalement on kiffait pas plus le confinement (et puis non, enfin !), qu’est-ce qu’on va bien pouvoir leur faire à bouffer TOUS les midis et TOUS les soirs de l’année, puisque le combo frites/pizza des vacances on oublie, comment gérer les déceptions de ceux qui ne sont pas dans la classe de leurs potes…

Perso sur l’échelle de Richter de la charge parentale, je suis tout en haut.

J’ai besoin de vacances mais SEULE.

PS : je ne te parle pas du chien qui a absolument envie de faire des cours de chant et du théâtre cette année.

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