10 objets à avoir sur soi le jour de Noël (quand t’es parent)

Jinglebell, Jinglebell …

Noël. 12 mois que tu prépares ça, que tu notes tout ce que ton enfant a osé aimer en regardant les pubs à la télé, que tu économises, que tu fais des listes des gens à qui offrir des cadeaux, que tu emballes les paquets cachés au fond d’un placard à l’abri des regards de tes gosses, que tu réfléchis à ce que tu vas pouvoir dire à ta belle-mère quand il faudra couper la dinde dans la cuisine (la dinde n’étant pas ta belle mère).

Alors va falloir le réussir ce Noël. Penser à tout et surtout à ça.

1/ Une paire de ciseaux. Pour défaire toutes les attaches qui emprisonnent les poupées et autres jouets trop bien accrochés à leur carton.

2/ Piles. Parce que bon, si Tata Lucette a offert un cadeau qui parle avec des piles mais que Tata Lucette, cette gourde, a oublié les piles, l’enfant va faire une crise de nerfs et prendre 34 ans de psychothérapie.

3/ Les cadeaux. Ça a l’air con dit comme ça, mais ça arrive. Et sans cadeaux, pas de Noël à moins d’un BON GROS mensonge sur la grève de Père Noël.

4/ Un grand sac. Non pas pour y mettre l’enfant mais pour y mettre TOUS les cadeaux.

5/ Un grand sac (à vomi). Comme dit juste au-dessus. Pour y mettre l’enfant. Euh, non le vomi.

6/ Un grand sac (poubelle) pour jeter les emballages et aussi les trucs qu’on n’aime pas;)

7/ Le costume du Père Noël. Pour que Tonton Jo l’enfile car c’est lui, de l’avis de tous, qui a le plus gros ventre. Incontestablement.

8/ Le champagne. Pour tout oublier. Et aussi le lait en poudre pour calmer bébé qui à minuit, devant la bûche, aura juste envie de dormir, de crier, de pleurer.

9/Un oreiller. Pour poser son enfant et soi-même en cas de soirée relou.

10/ Des tenues de rechange pour les gosses qui, entre la dinde, la bûche, les marrons et le champomy auront bien dégueulassé leur chemise payée un bras.

JOYEUX NOEL !!!

 

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Lettre (énervée) au Père Noël

Cher Père Noël,

En ce moment tout le monde écrit des lettres ouvertes à tout le monde, alors voilà, moi aussi j’ai envie d’être de ce mouvement et je décide de t’écrire.

Tu vas venir dans une semaine déposer des cadeaux à mes enfants.

Je sais bien comment ça va se passer. Le matin de Noël, ils vont se sont réveiller à 5 heures pour les ouvrir.

Tu vois, serialfather et moi, nous allons passer 2 heures 34 à monter la dînette, 1 heure 21 à jouer à un jeu où il faut trouver des os de dinosaure dans un sac de sable, 24 minutes à jeter tous les emballages dans la poubelle pour papier, qui était pleine, et 12 minutes à expliquer aux gosses déçus que oui bon bah la prochaine fois tu viendras plus tôt, mais que bon bah tu avais dû être débordé.

Tu vois, toi tu vas venir hop en coup de vent, et tu vas laisser tes paquets, et puis hop tu vas  disparaître.

Tu vois, les enfants ne jurent que par toi, le petit a même dit l’an dernier je cite « le Père Noël il est plus beau que toi maman et je l’adore ».

Tu vois, je suis un peu jalouse en fait.

Tu vois, les gosses all around the world (mon côté bilingue-je me la pète) sont fans de toi. La Bruelmania à côté, c’est du pipi de chat. La vraie star mondiale c’est TOI.

Tu vois, moi je serais toi j’aurais la grosse tête mais grave.

Tu vois toi, tel Arsène Lupin, tu viens discrètement. Tel Robin des bois tu gâtes le peuple. Tel Dora you did it.

Je te kiffe en fait Père Noël et si je n’étais pas mariée avec serialfather (un chic type), je partirais en Laponie avec toi et je deviendrais Mère Noël avec joie et honneur.

L’an prochain, je te rate pas.

Bisous.

ps : mon rib est le XXXXXXXXXXX

 

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Les 10 phrases que tu répètes souvent à tes enfants (et qui marchent aussi pour ton mec)

Constat N° 3 465 de ma vie de mère : je répète parfois 34 fois certaines choses à mes enfants, et loi du hasard (ou pas), je répète les mêmes à mon mari.

1/ Le linge sale va dans le panier bleu. Le panier blanc c’est le linge à repasser. Tu seras gentil de mettre tes chaussettes sales (oui les deux) dans le panier bleu. Merci.

2/ Non je ne peux pas faire des pâtes tous les soirs. Tu sais bien qu’il faut manger des légumes parfois.

3/ La Playstation c’est pas en semaine. Merci.

4/ Merci de garder tes burps et tes rots en toi.

5/ Je serai absente ce soir, j’ai du boulot, merci de laisser le salon dans le même état où je l’ai laissé.

6/ Appelle ta grand-mère, ça lui fera plaisir.

7/ Ne te promène pas tout nu, merci !!

8/ Range tes affaires ! A force de tout laisser traîner, tu vas les perdre.

9/ Ça serait sympa de dire bonjour poliment à Mme Michu, notre voisine depuis 4 ans quand tu la croises dans la rue.

10/ Ok je te prépare ton petit déj avec tes tartines au Nutella et ton chocolat chaud mais « pas trop chaud », ton jus d’orange et ton petit pain au chocolat. Dis, j’ai le droit à un câlin en contrepartie ?

PS : rien de perso

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10 idées pour que l’enfant soit autonome et responsable à 18 mois

Oh ça va hein. Le côté enfantin de ce bébé commence à vous peser et c’est normal. Non mais à 18 mois, va falloir songer à devenir autonome. On n’a pas signé pour changer les couches et préparer à dîner pendant 20 ans hein. Non mais.

1/ Lui apprendre très tôt à lire. Par exemple en lui chantant l’alphabet dès la sortie de la maternité – ou même dans le ventre. On nous dit toute la journée que l’enfant est une éponge, alors qu’il lise, qu’il se raconte ses histoires seul le soir !

2/ Lui tatouer son prénom, son adresse et son numéro de Sécurité sociale sous l’aisselle. Comme ça au moins, s’il venait à se perdre…

3/ Lui apprendre à ranger sa chambre très tôt. Et puis très vite aussi. ET puis tiens, tant qu’à faire, lui apprendre à ranger le salon, la salle de bains, votre chambre et la cuisine. Qui peut le plus, peut le moins.

4/ Le mettre face à ses responsabilités : tu as faim ? Bah va falloir bosser pour manger. Je sais pas moi, faites-lui rencontrer la petite souris, un truc dans le genre.

5/ Lui apprendre à aller à la crèche seul : ce qui sous-entend qu’il faut qu’il sache marcher ET, point important, mettre ses chaussures. Si ces deux conditions sont remplies, c’est nickel, il ira à la crèche seul.

6/ Lui apprendre 3 langues : on ne vous pas dit que le monde était vaste ? Apprendre des langues étrangères, c’est la base, sinon on ne s’en sort pas après. Alors voilà, au lieu d’acheter des poupées et mobiles qui causent le français, investissez dans des jouets qui disent « Joue avec moi ! », mais en anglais/espagnol/chinois.

7/ Lui apprendre à prendre son bain. Non parce que l’eau partout, les principe de devoir jouer et boire de la « soupe » qu’il a fabriquée à base d’eau sale et d’après-shampooing, ça va 3 mois mais 18 mois, non. Alors soit il se lave seul, soit, mieux, il se lave pas. Enfin juste une fois par mois.

8/ Lui apprendre à décrypter les infos. Vous avez pas le temps de comprendre les tenants et les aboutissants des élections américaines, du conflit syrien, de la révolte des vendeurs de patates bios ?  A lui de faire une revue de presse le matin au petit déj. Comment  ? Vous lui laissez la radio allumée toute la nuit sur France Info. Non seulement il apprendra à parler, mais en plus il sera patron de presse à 20 mois.

9/ Lui apprendre la propreté à 13 mois. Mais si c’est possible ! Il suffit d’y croire (et de le laisser dans sa couche pleine ;))

10/ Lui apprendre à retrouver le chemin de la maison : vous avez lu « Le Petit Poucet » ? Bah voilà, nous y sommes.

 

 

 

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Ça se fait de dénoncer son enfant à sa place ?

La question ici n’est pas de savoir s’il faut dénoncer son enfant qui aurait fait une bêtise, mais de savoir que faire si VOUS avez fait une bêtise. Ingrate va.

1/ Vous faites tomber un vase en cristal dans une boutique

a/ Quoi ? Vouuuuus ? Bah non c’est LUI , l’enfant.

b/ Vous êtes la nana la moins maladroite du monde alors que lui, il a 2 ans quoi.

c/ Désolée, il a cru que c’était un jouet.

 

2/ Durant la nuit vous vous enfilez le pot de Nutella. Le lendemain :

a/ Vous dénoncez l’enfant , il a l’air suspect

b/ Quoi ? Vouuuus ? Vous êtes contre l’huile de palme

c/ Le Nuté quoi ?

 

3/ Sans faire exprès, vous cassez la télévision de votre belle-mère

a/ Ah non, pas vous, vous étiez aux toilettes, sans doute l’enfant.

b/ Non mais vous la télé vous la regardez pas alors… bah oui le petit a joué près de la télé.

c/ Vous êtes « infiniment » désolée mais c’est lui, l’enfant.

 

4/ Vous avez des flatulences et ça sent mauvais

a/ « Oh mais chéri enfin arrête de faire des prouts », dites-vous à l’enfant devant tout le monde.

b/ Vous faites celle qui dit : « oh mais cette odeur… c’est la cantine ça, ça lui file mal au ventre. »

c/ « Désolée je vais changer la couche de bébé. »

 

5/ Vous décidez de doubler dans la queue au cinéma, et on vous chope

a/ Vous mettez TOUT sur le dos de l’enfant, qui veut faire son malin.

b/ Vous prétendez que l’enfant est si petit qu’il ne peut pas faire la queue des heures (oui il a 14 ans mais bon).

c/ Votre enfant, dites-vous, est IN-TE-NABLE.

 

6/ Vous oubliez de signer les cahiers de l’enfant pour l’école

a/ Vous prétendez à la maîtresse qu’il ne vous les a pas donnés.

b/ Pffff, que votre gamin est tête en l’air !

c/ Bah euh si, enfin, pourtant vous l’aviez fait, il a dû arracher la page !

 

7/ Vous renversez du ketchup sur la nappe blanche de votre sœur

a/ Bah voilà, encore l’enfant, à force de manger des trucs dégueus !

b/ Oh lala vous avez tout vu, c’est lui, vous êtes désolée, il est relou, il est SUPER relou.

c/ Ah non, mais le ketchup, ça le rend fou.

 

8/ Vous oubliez de tirer la chasse d’eau

a/ Ahhhh ce gosse c’est toujours pareil

b/ Ah bah ça risque pas d’être vous, vous êtes Madame propreté, ce doit être encore lui. Tout comme son père.

c/ Non mais faut pas lui en vouloir, il est trop petit pour atteindre la chasse d’eau.

 

9/ Vous avez déréglé la mot de passe de la box internet

a/ Encore un coup du môme, il adore les trucs électroniques.

b/ Ah bah si c’est lui, mais c’est peut-être pas si mal parce que 667VGHHJKH98667N. ?JLK c’était chiant, non ?

c/ Bah si c’est possible. Bah oui même à 4 mois. Les ondes de bébé, tu connais pas ?

 

10/ Vous avez oublié de fermer la porte, et oups, la maison a été cambriolée

a/ Mais ce gosse… je lui avais dit de fermer la porte ! Oui il a 7 mois. So what ?

b/ Ah bah voilà encore lui, ado à la noix qui perd ses clés partout. Oui oui 5 ans c’est un ado.

c/ C’est lui. C’est tout. C’est sans appel.

RESULATS :

Une majorité de A (ou de B ou de C) : certes c’est pas beau de dire que la prunelle de vos yeux est coupable d’un fait qu’il n’a pas commis, mais bon…qui ne l’a jamais fait hein ? Qui ? Vous êtes juste normale va.

 

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15 questions qu’il ne faut surtout pas poser à une maman de jeunes enfants

En tant que maman de jeunes enfants il y a eu des moments (et il y a encore des moments) où l’on me pose des questions qui m’énervent. Le genre de questions où on a envie de répondre « de quoi j’me mêle » ou « ta gueule ».

1/ Il fait ses nuits ? (ta gueule)

2/ Il est propre ? (ta gueule)

3/ Et tu comptes rebosser un jour ? (de quoi j’me mêle?)

4/ Tu as pensé à prendre soin de toi ? (Ta gueule)

5/ Mais tu es sûre que tu en veux d’autres ? (de quoi j’me mêle)

6/Tu es sûre que les frites ça va pas être mauvais pour lui ? (de quoi j’me mêle?)

7/ Tu penses pas que tu devrais le laisser pleurer ? (ta gueule)

8/ T’as perdu tes kilos de grossesse ? (de quoi j’me mêle?)

9/ Tu manquerais pas un peu d’autorité ? (ta gueule)

10/ Tu connais cette maman américaine qui a repris le sport 3 jours près son accouchement ? (ta gueule)

11/ Mais c’est pas un peu débile de le laisser regarder la télé à son âge ? (de quoi j’me mêle)

12/ Tu savais hein que ce serait pas SI facile  ?(ta gueule)

13/ Tu connais ma copine Zoé ? Celle qui a 5 gosses, un job de rêve, un chouette mari et un corps de folie ? Je te la présente ? (ta gueule)

14/ Tu connais pas le livre « Tout se joue avant 6 mois sinon ta vie est foutue », tu déconnes ???? (ta gueule)

15/ Je t’ai déjà dit que tu avais l’air naze ? (ta gueule)

 

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Je suis cette mère qui accompagne ses enfants en pyjama à l’école le matin


Je sais pas vous mais moi, je l’avoue sans honte, le matin je reste en pyjama, je mets des bottes fourrées sans chaussettes (évidemment, la base) et un manteau et j’accompagne les enfants à l’école. Ça m’est arrivé un nombre incalculable de fois et personne ne voit trop le truc car je suis bien cachée derrière mon manteau. Evidemment j’évite le pyjama licorne et la nuisette trop sexy. En été, c’est plus complexe, je l’avoue.

Si j’ai honte ? Bah euh non. Je gagne du temps et le matin je ne crache pas dessus (sur le temps hein, pas sur le manteau).

Je suis pour montrer le bon exemple et ne pas envoyer ses enfants en pyjama à l’école (quoique…) mais, désolée, je suis aussi pour continuer de déposer mes 4 enfants en pyjama sous un manteau si bon me semble. Cela ne fera pas d’eux des délinquants ou des tocards de la mode. D’ailleurs, le pyjama c’est hypeeeeeeeer tendance sur le red carpet ! Parole de star dans mon immeuble.

Si porter un pyjama le matin à 8 h devant l’école est un acte militant, alors oui je suis militante de la première heure ! #jesuispyjama

Soyez rassurés, je rentre chez moi après, vers 8 h 25, je me change. Ou pas. En fait OU PAS.

Mais après tout ceci ne regarde que moi et mon pyjama en pilou.

Vous connaissez mon rêve secret ? Ce serait de vivre en pyj comme un bébé, en grenouillère si possible, c’est tellement confortable…pourquoi diable mettre des jeans et des talons, hein sérieusement ? Tout serait plus simple dans un monde pyjamesque, non ?

Vive le Pyjama Libre !

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Les 10 types de parents de l’école que vous ne pouvez pas voir

Oh vous n’avez pas signé pour devenir pote avec tous les parents de la Terre sous prétexte qu’ils ont des enfants dans la même école que les vôtres. En revanche RIEN ne vous interdit de les scruter, de les juger, de les détester.

1/ Les stressés : à peine partis de la maison, ils courent, répètent «on va être en retard, on va être en retard», ils ont les yeux rivés sur leur montre, ils ont chaud, ils ont mis un sandwich dans les sacs des enfants “au cas où”, ils arrivent devant l’école, ils rassurent leurs enfants qui ne sont pas inquiets, ils demandent à la maîtresse si elle a bien ses diplômes.

2/ Les faux zen : cool bébé. No stress. Au pire on aura 3 minutes de retard, ça va aller. On respire, on sourit, la vie est belle. Gnagnagna.

3/ Les “à l’Ouest” : c’est devant l’école qu’ils se rendent compte que c’est samedi et qu’il n’y a pas école. Pfffff.

4/ Les “je sais tout” : ce genre de parent qui “connaît intimement la maîtresse, la directrice, le maire”. Ils savent aussi avant tous les autres quand aura lieu l’interro-surprise. Genre.

5/ Les “on va au café ?” : chaque matin ils attendent devant l’école dans l’espoir de rencontrer d’autres parents et de refaire le monde au café. Z’ont pas un job oh ?

6/ Les working : 33 secondes pour déposer la marmaille, 8 minutes pour arriver au métro, 29 minutes de temps de trajet. Ne pas perdre de temps. Aller à l’essentiel.

7/ Les pleureurs : Des larmes coulent le long de leurs joues. Leur cœur est brisé. Leur petit bébé va à l’école. Angoisse. Bon ça va aller, il a 15 ans le petit !

8/ Les “vas-y tout seul” : on ne les voit jamais. Depuis que l’enfant a 3 ans il y va seul.

9/ Les “je reste” : ils ont adoré l’école et regrettent de ne plus être en âge d’y aller. Alors ils traînent, ils restent devant la classe, ils parlent avec tous les gosses. Un peu plus et ils s’incrustent toute la journée.

10/ Les “Full metal jacket” : leur enfant pleure ? Pas grave. T’es un homme mon fils. Oui tu as 3 ans . Et alors ? Yes Sir !

 

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10 grandes étapes dans la vie sexuelle des parents

Un homme, une femme. Bientôt un homme amoureux, une femme amoureuse. Puis un papa et une maman. 10 moments phares de cette vie sexuelle.

1/La rencontre : sur un site de rencontre, à une fête de fin d’année un peu bourrés, sur les bancs de la fac, dans le métro, à un dîner arrangé.

2/ La première fois ensemble : dingue, grandiose. Il y a eu des « AHHHHHHH », des « MMMMMM », des « ENCOOOOOORE ».

3/ La deuxième fois. Dingue, grandiose. Il y a eu encore plus de « AHHHHHH », de « MMMMMMMM », de « ENCOOOOOOORE ».

4/ Le premier « je t’aime ». En plein coït. Magique.

5/ La 25ème fois.  Il y eut tant de bruits que les voisins durent menacer d’appeler les flics.

6/ La fois où on fait l’amour pour faire un enfant. Emouvant, intense, sublime.

7/ La fois où l’on vient d’annoncer à l’autre qu’on est enceinte. Totalement fort, excitant, jouissif, drôle.

8/ La fois où on a un ventre de 9 mois de grossesse. En cuillère. Compliqué. Pas pratique. Pas fou-fou.

9/ La fois où on a accouché 6 semaines avant. Inconfortable, mou, sans conviction.

10/ Les fois où tes mômes sont dans ton lit à 5h du mat pour un cauchemar, où ils t’appellent pour une envie pressante, où ils hurlent ton nom à la mort. Bah y’a pas de sexe.

Note pour plus tard : prendre des réserves de sexe avant les gosses parce qu’après ce sera, comment dire, plus complEXE.

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10 bonnes raisons de dire « je t’aime » à notre enfant


Dire je t’aime. Les serrer dans nos bras. Leur redire qu’on les aime. C’est important. A tout âge. Il faut dire aux gens qu’on aime qu’on les aime, et en premier lieu à nos enfants !

1/ Ça leur prouve qu’ils peuvent avoir confiance en nous. Leur dire « je t’aime » c’est leur dire « tu peux compter sur moi ».

2/ Ça leur donne confiance en eux : pour avancer et bien grandir, en dehors de manger 5 fruits et légumes, il faut savoir s’aimer, et s’aimer soi-même passe forcément par le regard des autres et évidemment par celui de ses parents.

3/ Ça leur donne de l’importance pour ce qu’ils sont, pas pour ce qu’ils font. Ça les aide à comprendre la valeur de la vie, de leur vie.

4/Ça leur donne de la force et du courage. Et le courage ça fait avancer dans la vie.

5/ Ça les autorise à faire des erreurs. Un enfant qui se sait aimé partagera ses erreurs plus facilement avec ses parents, et saura au fond qu’il sera pardonné. Attention ça n’ouvre évidemment pas la porte à toutes les conneries !

6/ Ça donne de la joie : qu’on ait 5 ans ou 40 ans, on est heureux quand nos parents nous disent « je t’aime ».

7/ Ça veut dire que d’autres vies que la leur vivent pour eux : ils ne sont pas seuls au monde puisqu’ils sont aimés!

8/ Ça leur donne envie d’aimer aussi : se savoir aimé donne du baume au cœur et l’envie d’aimer aussi.

9/ Ça évite la peur : se savoir aimé pour un enfant le rend fort et lui évite d’avoir peur, comme une arme d’amour !

10/ C’est important tant pour eux que nous : on va pas se mentir, leur dire je t’aime, c’est se dire à nous qu’on a fait du bon boulot avec nos enfants, qu’ils sont merveilleux et qu’on est fiers. Si, si.

Alors dites-le, même si parfois c’est difficile à dire pour certains, forcez-vous!

 

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