Ce qu’on va aimer avec nos enfants cet été

On prend le temps, on est ensemble, on se force à être souple. On passe l’été ensemble, en famille si on a de la chance, avec des amis parfois, à la plage, à la campagne, chez soi, à la montagne, au bout du monde, chez des copains.

On va aimer…

Mettre le même maillot de bain tous les jours,

sentir le soleil dans les cheveux de nos enfants,

faire des jeux de société à la bougie,

chanter à tue-tête,

visiter des lieux formidables,

manger des glaces,

leur mettre de la crème contre les coups de soleil,

faire de la randonnée,

essayer le kayak,

prendre l’avion,

le train,

la voiture,

mettre des chapeaux,

lire,

glander,

rire de rien,

compter les grains de sable,

vivre ensemble tout le temps,

rencontrer les enfants des potes qu’on ne voit pas assez durant l’année,

aller à la cueillette,

caresser des biquettes,

faire du yoga,

manger des frites,

se détendre,

oser se coucher super tôt,

ou super tard,

ressortir les tubes des années 90 et danser le MIA,

regarder les Goonies,

dormir tous ensemble,

faire des projets,

penser à la rentrée avec joie,

être avec les grands-parents et parfois les arrière-grands-parents,

visionner Ma sorcière Bien aimée (ouais),

aller au cinéma,

escalader des montagnes,

leur apprendre à nager,

leur apprendre à s’aimer,

parfois péter les plombs à cause de leurs disputes (faut bien le dire),

se dire que les étés de notre enfance à boire du Banga et à écouter Elsa c’était chouette aussi,

faire une parodie de Vitaa et Diam’s,

rêver,

faire la sieste,

se poser dans un transat,

sentir l’odeur de l’herbe fraîche ou du sable,

penser à nous,

oser tout,

manger les fruits qu’on aura cueillis,

regarder les copains sur Insta,

être heureux.

Soyez heureux.

Passez un bel été.

 

 

 

 

 

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16 choses sur lesquelles on a le droit (le devoir même) de céder en vacances

Nous les parents, on court toute l’année, on se stresse, on dit à nos enfants « dépêche-toi », « fais tes devoirs », « range ta chambre », « je suis fatigué ».

Alors si on profitait de l’été, des vacances pour lâcher un peu ?

1/ On éteint son réveil. On se réveille quand on se réveille.

2/ On ne dit pas toujours NON à un petit DVD. Aux heures chaudes, c’est plutôt sympa ce temps calme, au frais, devant les 101 Dalmatiens.

3/ On s’autorise des repas à des horaires pas classiques. Il prend son gouter à 17 h 30 et dîne à 21 h. Et alors ?

4/ On autorise aussi le coucher plus tard. Ce sont les vacances, quoi !

5/ On les lâche sur les devoirs. Les cahiers de vacances pourquoi pas, mais en mode détente. (moi je ne suis pas pour). Sinon une autre variante consiste à lire, à faire des jeux malins, à aller visiter des lieux, des musées… C’est aussi de l’éducation !

6/ On prend le temps. C’est tout bête, mais prendre le temps de savourer un câlin, un dîner…

7/ On est moins à cheval sur les bains. C’est pas SI grave si un soir le bain saute, si ?

8/ On s’autorise à ne pas manger que 5 fruits et légumes par jour.

9/ On se raconte des choses qu’on n’ose pas se dire ou leur dire durant l’année.

10/ On apprend à faire des projets pour l’été prochain, par exemple.

11/ On teste des sports et des sensations fortes.

12/ On s’autorise la musique à fond et la boumette dans le salon.

13/ On ne dit pas NON à un concours de bras de fer (ou de rototos)

14/ On en profite aussi pour dire à ses enfants ce qu’on voudrait qu’ils changent dans leur comportement (et ils ont aussi le droit de réponse)

15/ On a le droit de mettre trois jours de suite le même tee shirt/;

16/ On ne repasse plus rien. Essentiel.

AMUSEZ-VOUS BIEN ! ON SE DETEND. ON EST BIEN.

 

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10 façons de se servir de ses enfants en leur faisant croire qu’ils gagnent en autonomie (héhé)


C’est bien beau de vouloir grandir et de vouloir voler de ses propres ailes. On est d’accord nous les parents, mais tant qu’à faire autant que ça nous rende service, hein ! Voici 10 moments où ils vont gagner en autonomie et nous rendre service. Que demander de plus ?

 1/ Chéri poussin, tu veux te lever pour me donner la télécommande qui est là-bas alors que moi je suis assise sur la canapé ? C’est une mission de grand ça !

L’enfant trop heureux s’exécute et nous on garde nos fesses dans le canapé.

2/ Chéri poussin, je te donne une mission : tu as le droit d’avancer plus vite que moi sur ce trottoir et de faire la queue pour acheter une baguette. Tu as 6 ans, tu peux le faire !

L’enfant trop heureux fera la queue et nous laissera ainsi finir notre conversation HYPER importante avec notre copine.

 3/ Chéri poussin, le chien m’a demandé de te demander si tu pouvais aller le promener. Oui, il me parle à moi. Tu as 11 ans maintenant tu peux, ça va lui faire super plaisir.

L’enfant ira réjoui, avec le chien réjoui, et nous on sera réjoui de ne pas avoir à le faire.

4/ Chéri poussin, j’ai un jeu trop trop rigolo : il faut ramasser les miettes par terre ! Si tu y arrives, t’es un grand champion.

L’enfant trouvera ça trop trop fun. Prochaine étape : ramasser les grains de sable à la plage.

5/ Chéri poussin, une légende raconte que pour bien grandir, il faut débarrasser au moins 5 fois par semaine. 

L’enfant risque de ne pas y croire mais si on le mesure en trichant et qu’on lui dit que si, ça fait grandir, alors bon, il le fera. HAHAHA.

6/ Chéri poussin, voici 78 chaussettes qu’il va falloir mettre par paire. Pour apprendre à compter, maintenant que tu as 5 ans, c’est parfait. Et puis, pour t’aider demande à ton frère de 2 ans, il apprendra les couleurs.

L’enfant va adorer cette mission qui est une bonne galère pour ses parents !

 7/ Chéri poussin, maintenant que tu sais lire, c’est toi mon grand qui va lire ce soir une histoire à ta petite sœur. Ca, c’est une mission de super grand garçon !

L’enfant va kiffer et nous on va avoir 5 minutes pour faire autre chose.

8/ Chéri poussin, c’est toi qui choisis le menu ce soir ! Bah oui tu es une grande , tu peux !

L’enfant va trouver ça tellement cool. Et nous, comme on est à court d’idées, ça nous soulagera bien !

9/ Chéri poussin, comme tu as choisi le menu, tu vas débarrasser. Oui, les grands font ça !

L’enfant va râler mais bon, on est gagnants !

10/ Chéri poussin, j’ai des souvenirs tellement fous de colonie de vacances. Je t’ai inscrit, tu vas te faire des copains et des souvenirs pour la vie ! Les colos ça fait grandir !

L’enfant va adorer et nous on aura un peu de tranquillité.

 

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10 bonnes raisons d’envoyer ses enfants en colo

3 de mes 4 enfants sont partis en colonie de vacances lundi. Les deux grands de presque 14 et 12 ans sont 3 semaines aux scouts, et le 3e de presque 6 ans est parti une semaine avec des cousins et des copains en Normandie prendre un bol d’air et de fun.

Autour de moi, certaines personnes semblent nous juger « mais 3 semaines c’est loooong », « mais sous la tente les pauvres… quelle angoisse », « mais les pauvres pourquoi leur infliger ça », « mais enfin il a pas 6 ans, t’es folle ».

Bien évidemment comme je ne suis pas une si mauvaise mère, je ne force absolument personne, et si un de mes enfants avait la boule au ventre et les yeux remplis de larmes à l’idée de partir en colo/scouts, je ne le forcerais pas, je ne les ai pas mis au monde pour les faire souffrir et m’en débarrasser.

En fait, ils ADORENT.

Le petit d’à peine 6 ans m’a téléphoné tout à l’heure depuis le téléphone fixe du lieu de la colo en me disant « bon je t’appelle parce que c’est l’heure où tout le monde téléphone à ses parents mais en fait je sais pas quoi te dire à part que je m’amuse trop trop ». Quant aux 2 grands, ils comptent les jours à partir du mois d’avril tant ils sont pressés de retrouver les copains, de vivre sous la tente, de s’amuser entre potes et de vivre des choses folles. Je le sais, je l’ai fait.

Alors, voilà les colo, c’est BIEN. Je veux dire vraiment BIEN.

1/ Ça permet de voler un temps de ses propres ailes

2/ Ça permet de faire la fête H24 avec des copains de son âge.

3/ Ça permet de se fabriquer des souvenirs pour la vie et Dieu sait que même 30 ans plus tard, je me souviens encore de mon premier camp scout avec bonheur.

4/ Ça permet de s’occuper de façon saine, de décrocher des écrans et de vivre en plein air.

5/ Ça permet aux parents, il faut bien le dire, de souffler un peu.

6/ Ça permet aux enfants de se responsabiliser.

7/ Ça permet d’apprendre à jouer de la guitare, à savoir faire un feu, à savoir construire une table en bois.

8/ Ça permet les premiers flirts et les amourettes de vacances.

9/ Ça permet de pouvoir laisser sa chambre en bordel (enfin tant que l’inspection ne passe pas), ce qui n’est pas possible chez soi !

10/ Ça permet de grandir, de goûter aux joies de l’indépendance, de l’autonomie, aux saveurs de la liberté.

PS : si vous ne l’avez pas déjà vu, regardez vite le film dont est tirée la photo « Nos Jours heureux »… Nostalgie quand tu nous tiens !

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Mince, j’ai oublié les vaccins (récit d’une presque mauvaise mère)

Mon mari, le papa, a accompagné l’enfant chez le pédiatre pour une visite dite de routine. On a mesuré et pesé l’enfant. Bonne nouvelle : il avait grandi depuis sa dernière visite d’il y a 3 ans. Et justement en 3 ans, les parents ont eu le temps d’oublier pas mal de choses essentielles comme… les vaccins.

Le pédiatre a secoué la tête de gauche à droite avant de prononcer une phrase horriblement culpabilisatrice : « Vous êtes inconscients. Pas de rappels du vaccin Exomius B56790 depuis 4 ans. Et là je regarde pour votre fille, et c’est pareil. Heureusement que le petit est jeune car pour lui vous êtes à jour. Mais que diable avez-vous fait Monsieur ? »

Le père et la mère, qui est jamais loin, angoissent, baissent les yeux façon CE1, commencent à suer, se demandent si l’épidémie de peste et de grippe espagnole ne va pas à nouveau saisir et tuer ses petits.

L’enfant le toise. Le pédiatre les juge. Mains moites quand ils demandent « mais docteur, que doit-on faire ? Vous savez c’est de la faute de ma femme, c’est à elle de gérer ça… je n’y suis pour rien ».

Le pédiatre l’interrompt « pas de ça ici. On est en 2019, les parents sont sur un pied d’égalité. Vous avez merdé. »

Papa baisse les yeux 2e fois: « mais Docteur, que faire ? ».

Le doc dit qu’il va tout reprendre depuis le début et vacciner à nouveau les enfants, que « ça va aller » puis il ajoute « je parie que votre chien est à jour de ses vaccins lui ? ». Les parents sourient et répondent fièrement « bah oui. On reçoit des relances du vétérinaire au moins…. ».

Le docteur les reprend « ah ces parents qui aiment plus leur chien que leurs enfants … »

Fiston demande si c’est vrai que le chien est à jour de ses vaccins et pas lui. Il a l’air menaçant.

Le pédiatre rigole fort. Le père a les yeux en larmes.

Il se trame un drame digne de Games of Thrones dans ce petit cabinet de pédiatrie …

… Le carnet de santé de l’enfant ne devrait ne jamais quitter la liste des To-do de la cuisine. Le souci c’est qu’un carnet de santé sur une liste, ça prend de la place. Le problème c’est qu’on ne peut pas se souvenir de tout lorsqu’on est parents, surtout lorsqu’on a 2, 3, 4, 5, 6 enfants.

Le problème c’est que si l’enfant n’est pas souvent malade (ce que nous lui souhaitons), il ne voit pas le pédiatre avec régularité, et que donc il est complexe de se souvenir qu’en février 2022 il va falloir faire le rappel du vaccin au nom aussi compliqué qu’un meuble Ikéa.

Le problème c’est qu’il est illégal pour le pédiatre de faire des rappels des rappels (vous suivez ?) aux parents, contrairement aux rappels émis par les vétérinaires. Le problème c’est donc que les parents peuvent oublier de vacciner, faire des rappels de vaccins et que donc non, à 15 ans on ne sait pas s’il a fait le 56e rappel pour le ROR.

(d’ailleurs nous-mêmes adultes le faisons-nous ?)

On peut au choix : se noter de prendre un RDV pédiatre pour 2022, se faire un post-it qui devra tenir 3 ans sur le frigo, ou (meilleure solution) téléphoner au pédiatre tous les 6 mois pour savoir si les enfants doivent se faire vacciner.

Sinon on peut s’acheter un chien et un chat et revendre ses enfants. C’est encore ce qu’il y a de plus simple.

(toute ressemblance avec des personnages ayant existé serait….)

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Mes enfants ne sont pas (l’unique) centre de ma vie. Et vous ?

Attention, attention, je vais vous dire un truc qui va peut-être vous choquer, vous donner envie de m’insulter ou pire, vous donner envie de regarder Cyril Hanouna en boucle (et ça c’est dangereux) : mes enfants, mes 4 enfants ne sont pas (l’unique) centre de ma vie.

Voilà c’est dit. J’ai le sentiment d’être aux Alcooliques anonymes !

« Bonjour Serialmother, 40 ans, 4 enfants. Voilà…je …enfin…voilà…mes enfants ne sont pas le centre de ma vie ».

La bombe étant lâchée, je vais vous expliquer.

J’aime mes enfants plus que tout au monde. Chacun d’entre eux m’apporte de la joie, du bonheur, et lorsque je les respire, lorsque je les serre dans mes bras je ressens la joie probable d’un junkie qui a sa dose.

Mais je n’aime pas QUE mes enfants. J’aime mon mari plus que tout aussi. J’aime mes parents. J’aime mes amies. J’aime mon job. j’aime aller et faire du théâtre, j’aime lire, j’aime la glace, le chocolat, les gnocchis, les radis et les artichauts.

Evidemment j’aime moins les artichauts que mes enfants hein, mais ce que je veux dire c’est que la vie est une composition de tout cela. Je pourrais certes me passer des artichauts et pas de mes enfants, ça c’est évident (quoi que ;))

Je veux dire que ma vie et j’espère la vôtre aussi, est un doux dosage de ci, de ça, de ci, de ça.

Mes enfants sont mon presque-tout. Mais j’ai d’autres centres d’intérêt et d’amour.

Et heureusement car (attention moment Tatie Danielle) un jour ils seront grands – les petits cons – et voleront de leurs propres ailes puisque c’est le sens de la vie, et ce jour-là je serai heureuse pour eux et heureuse pour moi d’avoir gardé d’autres centres d’intérêt.

 

Alors j’ai tort ? j’ai raison ? Et vous ?

 

 

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Et si mon fils veut faire de la danse classique ?

Mon 3e enfant, mon fils de presque 6 ans, a fait la liste des activités qu’il aimerait faire l’an prochain. Bon, soyons clairs, si on l’écoute, il arrête l’école pour ne plus faire que du sport, de l’art et du toboggan. Mais plusieurs fois est revenu le théâtre (il en fait déjà), le judo et la danse classique.

Alors j’ai commencé à me renseigner, à demander si dans les cours près de chez moi on prenait des garçons. « Oui, oui on le prendra mais ce sera la première fois », ou encore « oui mais il n’y a que des filles », ou encore « désolés, non », ou encore « mettez-le au hip hop, c’est chouette pour les garçons. »

Désolés non... Je vous épargne les commentaires de voisins, de mamans de l’école : « Mais pourquoi diable le pousses-tu vers une discipline féminine ? «

Alors d’abord je ne pousse rien du tout, il en a parlé tout seul, à notre grande surprise. Ensuite je me demande dans quel monde on vit lorsque en France en 2020, on pense encore que la danse classique est réservée aux femmes. Quid de Benjamin Millepied, de Noureev, de Béjart ? (je m’emballe un peu, mon fils, si ça s’trouve ne fera que 2 cours ou même pas un)

A l’heure où ENFIN les femmes font du football de haut niveau, on se/me demande en gros si je ne pousse pas mon fils vers l’homosexualité. Car ne nous voilons pas la face. C’est cela le problème de certains. Alors rappel pour ceux-là : d’abord on ne choisit pas sa sexualité en fait, ensuite la danse n’a jamais rendu personne ni homo, ni hétéro.

A l’heure qu’il est, j’ai le choix entre l’inscrire au hip hop, au cours rempli de filles (ce qui n’est pas un souci, sauf qu’à 6 ans être le seul garçon au milieu de 20 filles, ça peut le devenir), abandonner ou tenter le Conservatoire.

J’attends la réponse du Conservatoire.

PS : laissons les enfants faire LEURS choix, hein !

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Mon mari est un papa, pas une baby-sitter

Hier soir je suis sortie dîner avec des amies. Ça m’arrive plusieurs fois dans le mois de me faire des dîners entre copines. Ça m’arrive aussi chaque semaine de prendre des cours de théâtre (d’improvisation pour être précise).

J’ai 4 enfants.

Alors diable, qui garde les enfants à votre avis ? Un indice, ça commence par PA et ça finit par PA. Mais le père pardi !

Il y a ce truc génial quand on a la chance d’être en couple et d’avoir des enfants communs : que l’un puisse sortir de temps en temps sans l’autre, et que l’autre, celui qui reste, garde les enfants.

Souvent (bonjour 2020), on me dit « wow t’en as de la chance, ton mari va baby-sitter les enfants ! ». En fait oui j’ai de la chance d’avoir un mari qui me laisse sortir avec des copines (bonjour 2020) et qui assume son rôle de papa. Parce que vous savez quoi ? Les enfants ont les a faits à 2, et même si c’est moi qui était enceinte, il est leur père (avec la voix de Star Wars).

Ça ne lui pose aucun problème de coucher SES enfants. Même qu’une fois ou deux je suis partie en week-end avec des copines et qu’il est resté à la maison avec les enfants. Dingue.

Lorsque lui sort faire son sport ou voir ses potes, personne, je suppose, ne me traite de baby-sitter. Je suis la maman et donc ça paraît « normal » que je garde mes enfants. Alors pourquoi à l’heure où l’on réclame l’égalité entre les papas et les mamans, cela reste dingue qu’un père garde ses enfants pour que sa femme puisse sortir ?

Je trouve ça chouette de partager les tâches, de partager son quota de sorties entre potes ou entre copines sans que cela relève de l’extraordinaire. J’encourage toutes les mamans à sortir entre copines une fois par mois au minimum en laissant les enfants au papa.

Et si pas de papa, me direz-vous, alors une mamie, une tata, un papi ?

Nous ne sommes pas que des mères !

PS : bonne fête aux papas.

 

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1 200 preuves que vous êtes une super-maman

En fait j’aimerais avoir assez de place ici, et assez de temps, et assez de doigts, pour écrire 1 200 raisons pour lesquelles vous êtes des mamans merveilleuses. Mais je vais devoir me contenter de 12 pour plein de raisons. Genre je dois changer une couche, je dois préparer à manger, je dois lire une histoire. Je vous explique pas, vous savez.

Alors je vais vous dire en 10 points pourquoi vous êtes extraordinaire, fabuleuse, la meilleure.

1/ Vous avez mis au monde un ou plusieurs enfants. Vous avez souffert votre race. Vous avez eu envie d’assassiner le personnel médical et le monde entier pour sortir ce gigot de bébé de votre ventre. Ça déjà, je te le dis ma bonne dame, c’est un point qui fait de toi une star.

2/ Vous êtes une super négociatrice. Il veut pas dormir, il va y aller. Il veut pas faire ses devoirs, il va y aller. Il veut pas se laver les dents ? Il va y aller. Il veut pas se coucher ? il va y aller. La négo, ça veut dire que vous êtes forte. TRES forte.

3/ Vous les aimez, ils vous aiment. Aimer jusqu’au bout du monde, se faire aimer jusque l’infini. Donner sans compter. Aimer plus que soi-même. C’est héroïque. Vous êtes une héroïne.

4/ Vous avez peur parfois, mais vous le faites. Vous avez peur de mal faire, de louper, d’être maladroite. Vous doutez. Vous hésitez. Mais vous foncez, vous faites. Et ça c’est fort. BRAVO.

5/ Vous portez vos enfants. Depuis qu’ils sont des graines. Vous les aviez dans votre ventre, dans vos bras. Vous les porterez aussi loin que l’univers vous mènera. Vous les hisserez en haut. Au sommet de la montagne du bonheur. HEROINE, VA.

6/ Vous êtes patiente. PERSONNE n’est plus patiente qu’une maman. Des cris, des caprices, des revendications, des « je veux pas », des « j’en ai marre », des « fais chier ». Et vous qui résistez. HEROINE.

7/ Vous êtes une lionne. Oui en devenant maman on devient des lionnes. On les protègera quoi qu’il en soit. QUOI QU’IL EN SOIT.

8/ Vous êtes capable de ne plus dormir. Fini les grasses matinées. Fini les nuits de 12 heures. Un micro-réveil par ci, un biberon par là, un changement de draps… Mais vous tenez BON. Et pourtant c’est la pire torture de ne pas dormir.

9/ Vous arrivez à tout faire. Aussi dingue que ce soit, en devenant maman, on arrive non seulement à élever un enfant mais aussi à travailler, à être une femme, à avoir des copines, à lire, à faire du sport. HEROINE.

10/ Vous savez. Vous savez quand il a mal, quand il va mal, quand il a soif, quand il a faim, quand il doute, quand il a besoin de vous, quand il n’a pas besoin de vous. Vous savez. Vous avez ce 6e sens de maman.

BRAVO ! VOUS ETES FORMIDABLE.

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Ce à quoi j’ai résisté la première année de mon bébé

Mon grand a 14 ans bientôt, ma fille 12 ans bientôt, mon 3e bientôt 6 ans et le « petit » dernier a déjà 2 ans!!! Alors j’ai morflé, j’ai douté, mais comme dirai France Gall, j’ai résisté! Surtout la première année de chacun car la première année, on morfle graaaaave.

La preuve par 10.

1/ J’ai résisté à 365 nuits sans un sommeil de plus de 5 heures d’affilée.

2/ J’ai résisté à ceux qui me faisaient pipi dessus au moment de changer la couche.

3/ J’ai résisté à des mois d’allaitement.

4/ J’ai résisté à la tentation de leur faire goûter du Nutella.

5/ J’ai résisté à ne pas mettre de photos d’eux plus de 3 ou 4 fois sur les réseaux sociaux.

6/ J’ai résisté à dire « ta gueule » chaque nuit vers 5 h.

7/ J’ai résisté à la théorie selon laquelle il faut laisser pleurer son bébé pour qu’il arrête de se réveiller la nuit.

8/ J’ai résisté à appeler mon pédiatre pour le moindre doute/bouton/rougeur.

9/ J’ai résisté aux régimes (ah ça… j’ai résisté hein;))

10/ J’ai aussi résisté au sport (pour quoi faire ?)

Voilà, je suis une résistante !

 

 

 

 

 

 

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